Underthebloodsky
De passage
Sexe:
Inscrit le: 25 Aoû 2006
Messages: 53
Localisation: Lyon.
|
Posté le: Ven Aoû 25, 2006 15:45 pm Sujet du message: [Quelques poèmes dans le vent]
Je préviens tout d'abbord, que je suis nul en ortographe , et puis
allons y , nul en poèmes pourtant, j'aime en faire même si je me spécialise plus
dans les nouvelles.
Donc quelques une, de mes pourritures, je n'ai pas fais de recherche de pieds,
seulement quelques rimes.
Donner tout ce que j'avais de plus précieux,
Toutes les larmes que je possédais au fonds de moi,
Elles se sont écoulées dans un mouvement non heureux.
Criée de douleur,saignée, priée à vive voix.
Aucune porte ne s'ouvre sur ce chemin sanglants,
J'entends tant de cries dans cette atmosphère si obscure,
N'essayant plus de tuer la peine sous le ciel rouge engendrant,
Tant de mal être, enfermée, entourrée de blanc,entre quatre murs.
Tant de mots chuchotés, tant de mots dis en trance.
Une âme qui ne souhaite plus que de mourir,
Dans une rue deserte, je ne veux plus parcourir,
Seulement le chemin qui m'apportera délivrance.
Au dessus de moi, je ne vois plus qu'un ciel rouge de sang,
Je ne suis qu'une personne qui encore et encore,érant
Dans des couloirs ou la vie est partie depuis bien longtemps,
Le monde autours de moi, ses inconnus se fannent dans le vent.
Et ma blouse ne fait que refleter que le ciel est de sang,
Quelques taches, les infirmiers n'auraient pas dues,
Me laisser, sans entrevoir, que le couteau était présent,
La folie s'étant accaparée, je pense aux rêves perdues.
L'hôpital psychiatrique.
____________________
Souvenirs douloureux,
Espoir anéanti.
Jours heureux,
Partis en charpis.
Sans peur, ni maux,
Souvenirs lointains.
Ni froid ni chaud,
Revenaient en vain.
Soleil frapant,
Coups marquants.
Tristesse s'envolant,
Amour d'en temps.
Amour? Non.
Finalement passade.
Tout est maussade.
Sans aucun son.
De bonheur certains,
Ainsi tu reviens.
Je souris alors,
Tu m'aimes encore.
Mon regard luit,
Sans aucun bruit.
Puis, je me lèven
Et lui dis "Crève."
_______________________
Elle le voit un jour de soleil
Elle n'avait jamais connue joie pareille
Elle ne pensait que en cet enfant
Elle avait l'impression qu'il dansait avec le vent.
Elle le regarde, lui.
Elle l'emmene, lui.
Elle traverse sans bruit.
Elle pleure en appercevant ses yeux,
Elle avait le coeur si heureux.
Elle s'approcha plus près de lui,
Elle baissa la tête et un sourire luit.
Elle le regarde, lui.
Elle l'emmene, lui.
Elle traverse sans bruit.
Elle qui avait un coeur de glace,
Ses pleurs pourtant laissaient tant de traces.
Elle pensait qu'il était abassourdi par l'ennuie,
Elle sentait qu'il n'avait plus de vie.
Elle le regarde, lui.
Elle l'emmene, lui.
Elle traverse sans bruit.
Elle voulait lui rendre le bonheur,
Mais elle ne fit que horreur.
Elle pensait qu'il aurait pu effacer sa vie noire,
Et dans le vent, personne n'aurait pu y croire.
Elle le regarde, lui.
Elle l'emmene, lui.
Elle traverse sans bruit.
Elle abusait de tout,
Elle ne voulait pas lui donner de coups.
Elle ne savait pas qu'il fallait être deux à le vouloir,
Elle pensait qu'ils se refletaient tel un miroir.
Elle le regarde, lui.
Elle l'emmene, lui.
Elle traverse sans bruit.
Elle entendit des personnes criant,
Tout ce bruit s'emporta dans le vent,
Elle se remplit alors de folie, de larmes enfait,
Elle entendait les gens répétés, qu'elle lui avait coupé la tête.
|