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la-romantique
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Message Posté le: Dim Aoû 06, 2006 19:01 pm    Sujet du message: votre avis
Je te le dirai un soir d’été
A l’abri des regards jugeur
Que l’amour est né
un jour de aoute

Sous l’oranger de ton enfance
Tu reverras des rivages lointains
Tu n’avais que vingt ans
Quand tu es parti de chez toi

La mer t’aborde jusqu'à Strasbourg … à grasse…
Et puis l’amour de vivre est comme
Les vagues de la méditerrané
On ne sait jamais pourquoi elle part

La douceur d’une femme
Tu l’a connu
Elle est parti
Pour t’être plus proche

Son amant,
d’un soir la premier fois
est devenu son marin d’une vie à l’entrenité
t’as donné un prenons

Celui que j’appelais
Pour entendre ta voix
Celui que je voudrais
Que la vie me volé

Je voudrai partir là-bas
Loin de ce soleil qui n’existe pas
Loin de tes bras et de ton corps
Je voudrais refaire l’histoire

Pour refaire notre histoire sans ratures
Ou ne pas l’a faire et vivre sans t’avoir
Connu


Je te le dis avec mes mots,
Nos vies qui se sont croisées, ici ou là bas
Chez toi chez moi en terre sainte ou dans le désert,
Dans notre cœur, les larmes de nos mères qui n’ont sues coulées
Dans la paix ou dans les guerres du passées
Fermons les yeux, tu vois personne n’est plus que personne,
Alors tiens moi la main, quel soit blanche ou matisse
Avec le soleil, nous aurons la même couleur
Celle de l’amour et non celle de la guerre
Que je sois ton autre tu sera mus
Grasse,novembre 05





Ami de cœur
Batttant au grand vent
Dans le couloir de ses silences
Enfant d’espoir
Sa vie à lui
secret et simple
Artiste de lettre
Toujours là
Avenir de grand sage
Rayon de soleil
Tunisien d’amour
Avec Abde, j’ai appris que les mots ne font pas forcement le comportement d’une personne dans l’intimité. J’y suis aussi coupable, je lui ai fait mal… et lui n’a rendu la monnaie de ma piéce « j’ai cru en toi » mais l’apparence m’a aveuglie. Pour personne ne peut dire que tel ou tel personne ne lui vaut pas. J’ai aimé en fermant les yeux tant pis !

Ce poème a été écrit en Avril 05 lu à djamel.
J’ai vu son visage blanc
Je me suis souvenu de ces lieux qui étaient prison
J’ai peur d’être encore à lui
J’ai entendu mes cries que personne n’a su écouter
J’ai revu cet homme qui m’a fait tombée sous des regards aveugler
J’ai pleuré mais aucunes larmes n’a coulé
J’ai voulu crier les mots qui résonnent à jamais dans le couloir de ma vie
J’ai maudi ceux qui pensaient être mensonge
J’ai voulu partir pour toujours
Je n’ai jamais compris pourquoi moi ?
Ditez moi, jurez moi que la vie vaux d’être vécu
Malgré tout




Au frère de mon grand-père maternel, décès à côte de Paris en juillet 04. Un mois après, le mariage de sa première petite fille, Sylvie qui a donné la vie à Alexandra. Ma famille de ma mère est au Portugal mise à part quelles personnes… Antonio, il s’appelle Antonio et il me manque … Pourquoi ?le plus souvenir entre nous, et notre dernier instant que nous nous sommes jurés dans nos sourires d’être jamais loin de l’un de l’autre. Et sourire pour toujours…

Seul,
Dans ce monde sans lumière
Ma voix de petite fille t’appelle
Tous bas
Mais tous
Tu es parti
Ce n’est qu’un sentiment d’abandon
Qui m’envahie à ton souvenir
Et j’ai froid
Encore et encore
Moi,
Qui me suis
Qu’une inconnue sans toi
Pour le reste du monde
Dans le couloire de ma vie
Ton prénom résonne
Encore et encore
Tu disais que quelqu’un
T’attendait déjà de puis dix ans
Mais surtout tu avais compris
Ce que j’ignore
Encore et encore
Devant le monde
C’est ma voix de petite fille
Qui te murmure
Je t’aime
Encore et encore
Pour toujours















Les deux poèmes qui vont suivre sont également de moi de ma vie. Il vit au Portugal, je vis à Grasse. A l’age que j’ai, c’est l’ignorance, la joie, l’amour ; pour lui, c’est une vie remplie un fils qui a vingt ans, Hugo, séparé de sa première femme. Il est venu s’installé dans le village natal de mon grand-père, il y a douze ans. Sa vie n’ai pas gai, il boit et fumer beaucoup. Au village, on l’aime bien, sa « femme » elle le tache et je pu le dire … petite, il jouait ave moi parfois et puis en grandissant vers mes dix ans il apprit ses distances avec moi… Mon amant est peut-être l’avenir que nous aurions pu avoir. A mes treize ans, il commençait à me regardait comme une « femme » pour lui. Il est le seul homme que je n’ai jamais embrassé en public sur la joie.
A mes quatorze ans, il m’a demandée de l’épouser. Plus grande… un an après il m’a embrasse… quoi que l’on dit un jour : oui, je l’ai aime comme personne et lui aussi. Pense t-il à moi ? je me sais pas. Malgré 33ans de différence Fernando m’a toujours respect.
Il me manque. Ce personne ne sera c’est qu’attravers les hommes avec qui j’ai eu une relation amoureuse (sans le sexe), c’était la personnalité de Fernando que je voulais retrouver


Mon fils s’appellera Fernando.

Il devait être deux heures du matin
Nous devions être les seuls à traverser les rues tranquilles et éclairés par la pleine lune
Nous marchions dans le silence et la pudeur de notre amour
Les ruelles nous menèrent au vieux port qui abritait les amants d’un soir ou d’une vie
Ceux qui s’aimaient sans avoir prier la terre et les Dieux
Ma tête posée sur son épaule, ses bras qui enlaçaient ma taille, nous dansâmes sur le rythme des vagues qui venait se briser sur les rochers.
Nous avions, je crois à chaque fois cette même sensation d’être hors du temps, qui nous unissait.
Bientôt le soleil brillera dans le ciel pour qu’une autre nuit s’offre à nous
Déjàs des bateaux partaient vers la grande bleu, laissant à terre ; une femme, une mère ou bien un frère
Nous les saluâmes d’un geste de nos mains…
Qu’est ce qui pouvait nous retenir à terre ? Puisque nous me sommes libres d’aimer que dans les rêves et dans les livres.
La nuit allait s’achever et nous retournâmes sur nos pas en essayant de retrouver une indifférence l’un pour l’autre….









Le soleil du jeune matin je juin me réveilla…
Assise au bord de mon lit, je regardais la photographie de mon mariage, posée sur la table de nuit.
Cette photo réunissait pour la première et dernière fois : nos familles, nos amis, et toi qui m’embrassait.
Ce moment-là avait été mon second baptême tant espéré …
Je m’allongeais sur notre lit, fermais les yeux et revoyais ma vie passée :
De mes premiers à paris, de l’écolière que j’étais autre fois et des toutes mes premières fois qui reflétaient la débutantes que je suis toujours
J’ouvris les yeux et regardais autours de moi, et refermais les yeux
Adolescente, je passais mon temps à m’imaginer ce que serrait mon avenir … ma mère me l’a souvent reprochée.
Je me souviens des mes vacances au Portugal et de mon premier amant jamais oublié Fernando
Depuis une semaine ma deuxiéme vie que j’espérais
Jet’aime


































Je te le dirai un soir d’été
A l’abri des regards jugeur
Que l’amour est né
un jour de aoute

Sous l’oranger de ton enfance
Tu reverras des rivages lointains
Tu n’avais que vingt ans
Quand tu es parti de chez toi

La mer t’aborde jusqu'à Strasbourg … à grasse…
Et puis l’amour de vivre est comme
Les vagues de la méditerrané
On ne sait jamais pourquoi elle part

La douceur d’une femme
Tu l’a connu
Elle est parti
Pour t’être plus proche

Son amant,
d’un soir la premier fois
est devenu son marin d’une vie à l’entrenité
t’as donné un prenons

Celui que j’appelais
Pour entendre ta voix
Celui que je voudrais
Que la vie me volé

Je voudrai partir là-bas
Loin de ce soleil qui n’existe pas
Loin de tes bras et de ton corps
Je voudrais refaire l’histoire

Pour refaire notre histoire sans ratures
Ou ne pas l’a faire et vivre sans t’avoir
Connu












Au dieu,
je me peux croire en vous
car la vie est si injuste

Aux dieux,
je l’aime
mais, lui ?

Aux dieux,
Dit nous
l’amour de deux êtres

Aux dieux,
Faite lui une belle vie
Il le mérite plus que moi

Aux dieux,
Je ne veux de votre union
Qui n’est que celui des hommes du monde

Ceux qui se croient être l’or
De votre ciel
Aux dieux,

Aux dieux,
Quelle vie aurai-je
J’aime son regard, ses mots

Pourquoi il ne me dit rien
M’aime t’il ?
Mon ange !



















Alger,
éoutes
c'est moi,
souviens toi
je sais les années ont passés
et la vie nous a s'éparé
mais je n'ai jamais sû t'oublie

Alger,
saise de te rendre ivre pour oublier
on ne geurri jamais du passé, des guerres,
mais tu as une vie à bâtire
et tu le sais

Alger
je ne souviens de toi, de moi, de nous
on s'aimait avant que la terre tremble
sous les feux de la guerre et de la liberté,

Alger
pourquoi es tu là et tu ne dis rien?
c'est pour te taire,


J'ai vue son visage blanc
je me suis souvenu de ces lieux qui étaient prisons
j'ai peur d'être à lui
j'ai entendu mes cries que personne n'a su écouté
j'ai revu cet homme qui m'a fait tombé sous des regards d'aveugler
j'ai pleuré mais aucunes larmes coulaient
j'ai voulu partir pour toujours…
j'ai voulu crier les mots qui résonnent à jamais dans le couloire de ma vie
j'ai maudi ce qui pensaient être mesonges
je n'ai jamais comprise pourquoi moi ?
dis moi que la vie vaux d'être vécu malgré tout














Je voudrais que tu reviens
Que tu me prennes dans tes bras
que tu trouves les mots
Afin que je ne sombre plus
Que tu me parles un peu de toi
et que tu restes prés de moi
Il suffirait que tu me donne
du temps et de l'amour
pour que j'Apprendre enfin à me plus avoir peur de l'avenir
Que j'admette
que Puisqu'il faut que j'oublie mon passé
Savoir pourquoi c'était à moi
Je voudrais que tu m'aides à oublier
ces homme qui m'a fait si mal
Ou de ceux qui m'ont abandonne
M'aider à trouver ça banal peut-être
pardonnes-moi malgré tout ce qui sait passé
ce dernier jour
j'apprendre avec toi un jour à s'aimer
je voudrais t'enlacer dans mes bras
et te sois comme
mon frère, mon ami, mon amant
J'ai rêve et pleuré ces nuit noires sans toi
Il suffirait que tu reviennes un soir
si tu veux aimer
j'apprendrai, si tu veux à me passer de toi
s'il faut s'oublier un jour
tu restera toujours dans mon cœur
malgré tout ….
RemoRhâ
De passage
De passage




Inscrit le: 04 Aoû 2006
Messages: 50

Message Posté le: Dim Aoû 06, 2006 21:16 pm    Sujet du message:
y a pas "insignifiant" dans le sondage ?
Rimbaud
De passage
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Inscrit le: 13 Juil 2006
Messages: 56
Localisation: Charleville

Message Posté le: Lun Aoû 07, 2006 14:48 pm    Sujet du message:
RemoRhâ a écrit:
y a pas "insignifiant" dans le sondage ?


Vrai, pourquoi n'y a-t-il pas insignifiant?
Dans ce cas la je vote pour non.
Anaryane
Petit nouveau
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Messages: 10

Message Posté le: Mer Aoû 09, 2006 04:00 am    Sujet du message:
Il y a beaucoup de fautes, beaucoup de facilité et très alambiqué. J'ai juste survolé, mais la façon dont tu as posté aussi est désagréable, (vive la roulette de la souris pour descendre la page !), tu aurais dû poster à la suite à la limite.

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