la-romantique
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Posté le: Dim Aoû 06, 2006 18:58 pm Sujet du message: donner moi votre avis
Marseille, Juin 1948.
J’avais fait mes premiers pas et grandi à Marseille. Nous vivions là avec
maman dans un petit apertement sur le veuille port depuis toujours. J’étais
une joie de vivre, un rayon de soleil (même en hiver) n’avait écrit ma
meilleure amie Luise. Un mot, qu’elle m’avait régulièrement glissé sous
mes draps de lits depuis des années, quand elle venait à la maison. Je le
trouvais le soir dans mon lit ou sous mon oreille. Notre amitié était née
sur les bancs de l’école. Deux petites brunes inséparable, coiffés de
tresses et vêtues de tablier bleu. Voillà comment nous décrivaient les
maitres, que mon avions eu depuis les perniéres de classe.
Nos mères étaient très amies également Elles travaient dans un atelier de
couture depuis qu’elles avaient 14 ans…
La seul nuance qu’il y avait entre nous : c’était quand les jeudis
après-midi, nous passions chez elle, avant d’aller se baigner à la mer.
Son père. Un homme bon, que le temps a su effacer son visage de ma mémoire.
Luise embrassait son père et il l’a serrée dans ces bras. Moi je
l’embrassais tout simplement. Il était artiste peintre.
Et puis, comme deux sœurs que le destin ne devait jamais s’épparaier,
mains dans la mains, nous allions à la mer.
Toujours avant de rentre à la maison, je me tenais debout sur le vieux port,
en imaginant ce qui il avait devant moi. Au de là de la mer. .. Audelà il y
avait mon pére
Mon père devait avoir vingt-trois ou vingt-quarte ans quand il a rencontrait
maman. C’est un inconnu pour moi. Je n’ai jamais sûr comment ils se sont
rencontrés. Je savais qu’il viait à Anabas, avec ses parents sont là-bas.
Je l’ai vu quels fois.
L’étè passait avec douceur: j’eu mes neuf ans, maman été déjas très
malade.
Un jeudi soir de septembre, j’ai dormi chez luise, nous avions passe comme
à l’abitute motre journé ensemble. nous étions en semaine d’école, je
ne comprenais pas mais j’étais heureuse d’être avec elle. Ma « sœur »
avait compri, elle.
J’avais quitté le matin maman, elle dormait encore. Je l’ai embrasée.
Vendredi matin, un homme, que j’avais vu sur une photo avec ma mère, est
arrivé chez Luise. Mon pére !!!
Vétu de noire, fatigue par le voyage. Je suis retrouné chez moi avec mon
père. J’avais compris !!! Ma maman était depuis jeudi soir une étoile de
vingt cinq ans.
Mon pére inconu avait pris soins d’organisé les funéraiu de maman très
vite.
Ce fut un dimanche. Les amis de maman de l’atelier de couture étaient venu.
Luise était à côte de moi.
J’avais passé ma derniére semain d’école, en s’avourant chaque
instante avec mes amies. Notre maître monsieur Costa connaissait ma maman
depuis très longtemps. Ils étaient devenus très proches. Mais pas amants,
ma mére attendait encore mon pére.
Le dermier mercredi, monsieur Costa m’avait donnée une grande envelloppes
remplis de lettres.
« Grades là, toujours prés de toi. Et lient les quand tu sera grande »
m’a t-il dit
- Grande comme qui ? Avais-je demande naivement
- Comme qui ? rigolait-il. Quand tu …aurais pris de l’age ! »
Je me souviens de cette derniére mots comme si monsieur Costa était en
là encore a mes les dictaient ! Ces mots, je ne les ai compris plus trad.
J’avais quitté ma classe, sans larmes en pensant que ce n’était qu’un
nauvais rêve et que vendredi mon maître sera encore devant moi.
Ce fût le dernier jour d’école de ma vie….
Luise et moi, nous rentrions mains dans la mains chez nous. Mais, nous
marchions en silence, un silence qui dissait … tous ce que nous avions
passée emsenble. Tous ce que l’on s’était toujours di. Mais dans ma
tête, je n’avais qu’une peur de l’oublier avec le temps.
Ce soir nous dormiront ensemble et demain, Jeudi, nous allions à la plage…
Sur le sable, luise avait écrit « nous nous s’éppareions jamais » Mais
la mer, par les vagues l’avait vite éffacé.
« C’est ta faute me dissait elle en pleurant
- pourquoi tu dis ça ?
- parce que c’est tout qui part »
Elle m’avait laissée seul et était partie chez elle. C’était vraie
Oui, c’était moi qui part. …
La soirée, je l’ai passé avec mon pére au restaurant mais mon avions
dormi dans l’appartement où j’étais née.
J’aidais mon pére avais pris soins de ranger la grande envelloppes dans ma
valise
« va dormi ma fille ? m’avait t’il dit
- ta fille ?
- oui tu as mon sang aussi dans ton corps
- Luise, elle a un pére qui a aimé sa mére et sa fille. Et il les aime
encore aujord’hui. Et qui m’est jamais parti. LUI
- Céleste … »
Mon pére me porta à mon lit
« ta mére et moi on s’aimaient
- mais ton amour pour ma mére étais mois important que ton travaille.
- Un jour. Me repond t il Dors ma fille.
Il devait être trois heure du matin
Je me tenais assise sur le bord du lit. Les pieds croisses et les cheveux
détachés, je regardais le plafond pleines de larmes qui ne coulaient pas.
Je n'avais pas dormi cet nuit là, ni celle d'avant,… depuis que maman
était partie très loin trop loin.pourquoi ?
Je n'avais aucun membre de ma famille ici et nul part. Sauf un père qui
avait préférer ses affaires à Anabas qu'à ma mère et à moi. Il venais
nous voir, passait quelques jours ici et repartait. Mais jamais l'inverse,
nous avions pas les moyens. Je ne connais donc à peine cet père et mais pas
cette region de france pour laquelle je devais partir; même si on dit être
en France là-bas, Là-bas il n'y a pas ma luise et encor moins maman.
Je voulais profiter de ces derniers instants chez moi, ici à Marseille. De
cette chère ville, ma ville inoubliable dans mon cœur du haut de mes neuf
ans.
Le port s’achitait doucement. Les pecheurs partaient …
L'heure de mon départ m'était proche.
Mon père rentra dans ma chambre:
" tu es prête? Le bateau part dans moins d'une demi heure et je me veux pas
rester ici. disait-il
- Pourquoi? je me veux pas partir d'ici moi!
- Céleste, rigolait-il, tu n'ai plus une enfante … qui pleure pour …
- ma ville, répondit-je, mon enfance. là bas c'est mais pas chez moi.
- Cellà sera chez toi avec le temps ma fille. j'ai ma grande maison, mon
travail et puis tu t'y plairas fortement
- ai-je le choix? répliquais-je "
Je savais alors qu'il posait la même question pour lui: avait-il le choix de
m'amener là-bas?.. Mais mon père se tue pris le dernier carton et descendît
avec une idée en tête: partir! Pour retrouver sa grande maison, ses
hôtes… son chez lui, remarque il y était né, des parents niçois que je
n’ai pas commu , ni ma mère me les connaît. Tout ce que je sais ce que
maman ne connaissait que Marseille.
J'ai sué la vente de l'appartement par papa qui en avait une certaine
fierté. Quand nous avions mangé un soir avec les parent de « ma » sœur.
Cela m'avais rendu dans une rage. C'est comme si on me vendais avec maman.
Mais pour mon père lui …
a quoi bon personne me pouvais m'aider à rester …. Mais ma terre, c'est
Marseille.
Quand je descendis de la chambre pour la dernière fois, la porte je ne la
fermais à clef. Les rues étaient desert, il n'était que quatre du matin
alors.
Je regardais à la fenétre de luise. Pressonne Dors t’elle ? M’a t’elle
déjas oublie ?
Nous enbarquames sur le bateau.
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