Mon petit recueil... a ameliorer


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yomi
Petit nouveau
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Message Posté le: Ven Avr 28, 2006 17:07 pm    Sujet du message: Mon petit recueil... a ameliorer
Bonjour voila mon petit recueil de poéme personnel, si je le met c'est parce ue je cherche des critiques.
J'ai notament pas mal de probleme de premier demi allexandrin de 7 pieds se finissant par un e.
Exemple :

Quand je lui dit je t’aime, elle me dit qu’elle s’ennuie. (15 pieds )
Moi je la trouve belle, elle me trouve gentil. (15 pieds )
Quand on confond nos corps, ce n’est que provisoire, (14 pieds )
Je la vois s’en aller, et tout est dérisoire. ( 14 pieds )

En modifiant j'ai l'impression que le rythme du poeme est casser comme la par exemple. Est-ce qu'une impression ou avez vous deja eu le meme probleme.

Je lui dit je t’aime, elle me dit qu’elle s’ennuie. (14 pieds)
Je la trouve belle, elle me trouve gentil. (14 pieds )
Quand on confond nos corps, ce n’est que provisoire, (14 pieds )
Je la vois s’en aller, et tout est dérisoire. (14pieds)




Les Maux du Coeur

Aujourd’hui c’est pour toi, que je reprends la plume,
Tu détruits dans ma vie, toutes les amertumes.
Quel plaisir de te voir, quelle joie de t’écrire
Et quand je pense à toi, j’esquisse des sourires.

Quelle est cette force en moi, si jeune, si puissante
Qui déchire mon cœur telle une hydre arrogante
Ce n’est point la saison pour le printemps encore,
Ainsi ai-je donc ouvert, la boite de pandore ?

Oserai-je, tel Roméo à sa Juliette,
Mettre un genou à terre, et chanter mon amour,
D’une voie tendre et douce, aduler ta silhouette.

Je veux vivre pour toi, t’aimer plus chaque jour
Mais surtout maintenant, veiller à ton bonheur.
Ensemble nous marchons, sur un chemin de fleurs.




Rencontre

Ton ombre gracile, plane dans le lointain,
Je fais un pas vers toi, mais tu ne me vois pas.
Je marche, je cours et… déjà tu n’es plus là
Mes yeux cherchent sans fin, à contempler les tiens.

De toi je ne sais rien, ni les voies de ton être
Ni les plaies de ton cœur, et pourtant je t’admire
Plein d’espoirs, plein d’entrain, je cherche a te connaître.
Près de toi je suis bien, je crois en l’avenir.

Je ne regrette point de t’avoir remarqué,
D’être allé te parler, faire preuve de courage,
Sans savoir si j’allais vers le ciel ou l’orage.

Mais que puis-je qu’espérer, de te voir attiré
Par une histoire d’amour, dont nous serions auteurs.
Je désire te couvrir de baisers et de fleurs.




Vers un autre monde.

Vois ce spectacle est beau, vois ces rapaces au loin,
Qui tranquillement planent dans le lointain.
Ils s’approchent doucement, vers moi au gré du vent,
Un vent froid réveillant, les plaies me tiraillant.
Moi, morne charogne dans ces dents de la mort,
Ces montagnes si hautes se sont jouées de mon sort.
Pas âme qui vive, alentour ce n’est que blanc,
La neige a recouvert les sentiers et l’espoir
De pouvoir un matin, remonter dans le temps..
Les astres brillent ici, la douleur cesse ce soir.
Ils m’entraînent dans ce vaste espace où dansent,
Les flocons qui jadis ont ponctués mes romances.




Déclaration de mort.

La musique nous a liée, un an s’en est allé,
Mais elle est revenue, et nous avons changé.
Ton cœur battant pour moi s’est transformé en pierre,
Pour le couple d’hier tout n’est plus que misère.

Tes lèvres sont proches, mais ton cœur est au loin,
Plus jamais je pourrai, me blottir en ton sein.
Vieille complicité, émotions d’un regard,
Enfouies sous la douleur, cruauté de ta part.

Est-ce que je t’aime ? Vois-tu, je n’en sais rien,
Le brasier de l’amour, chaque jour est plus éteint
C’est un feu qui attend, que tu retrouves ta route,
Et que ton oeil hagard, se fixe sans plus de doute.

Nous nous entendions bien, tu étais agréable,
Heureuse et coquine. Mais tu n’es plus capable
De faire un pas vers moi, d’envoyer un message
Ou comme je le pense, tu trouves cela plus sage.

Nous ne sommes plus fait, pour pouvoir être ensemble
Demain je m’en irais sans que mon corps ne tremble.




Poème d’un autre temps.

Mais comment oublier, la femme dans ma vie,
Qui fait battre mon cœur, et qui fait mon malheur.
Elle m’emmène en enfer, et me couvre de fleurs
Elle me fait voir l’aurore et pourtant elle me fuie.

Quand je lui dit je t’aime, elle me dit qu’elle s’ennuie.
Moi je la trouve belle, elle me trouve gentil.
Quand on confond nos corps, ce n’est que provisoire,
Je la vois s’en aller, et tout est dérisoire.

Je me retrouve seul, à penser mes blessures
Et je verse une larme, fruit d’un amour trop pur.
Peu à peu je guéris, et j’oublie le passé

Je revois la lumière, c’est un nouvel éveil.
J’ai perdu trop de sang, pour une femme irréelle
J’ai perdu trop de temps à l’idéaliser.

Merci d'avoir tout lu.
L.H.
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Message Posté le: Ven Avr 28, 2006 18:16 pm    Sujet du message:
Autocensure

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