Quiddité
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Localisation: Sous la touche "Seth" ?
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Posté le: Lun Avr 17, 2006 18:52 pm Sujet du message:
Déjà, si l'on considère que l'éthique doit être une constante, il est
pénible de l'imaginer comme étant un effet de mode... ensuite, c'est assez
riche, puisque l'on peut distinguer éthique et morale, et l'idée, avec
Alain, de rejeter ces caractères personnels et finalement privés. A
l'opposé, Kant ne saurait que trop fonder sa vie sur des principes éthiques,
en accord avec Rousseau.
Mais pour revenir à la problématique, grosso modo, si l'on manifeste de l'intérêt pratique pour une
vie en accord tant avec soi qu'avec l'autre, que l'on cohabite avec des
extérieurs et y prospère ensuite, que l'on s'adonne à l'homéostasie ou que
l'on évite les heurts culturels et interpersonnels, cela permet d'avoir une
vue générale sur ce qui est le fondement d'une vie avec : Comment dois-je me comporter pour maintenir mon
identité dans un cadre multiculturel et pluriontologique ? A différents
niveaux, en conséquence, je peux répondre à ce (besoin) morale, et parce
que cela est stratifié, on peut avoir différents niveaux de réponse : on le
voit dans l'actualité, et la religion le surligne et le chapeaute, il y a des
tendances grégaires et liées à une certaine mode, dans une constante peu
battue en brèche puisque relativement inaccessible (du domaine du privé) qui
est le soi intime, l'être en tant qu'il a à être et qu'il se doit d'être,
par impératif... catégorique !
Et pour cette partie, je laisse la relecture de "hume"...
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