Clochette
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Posté le: Jeu Jan 12, 2006 20:25 pm Sujet du message: lequel préférez-vous?
Bonjour!
Vala, on m'a proposé de participer à un concours de poésie spécial
lycéens/étudiants. Seulement on ne peut envoyer qu'une seule oeuvre, et je
ne sais pas quel poeme choisir. Alors voilà ce sondage pour savoir lequel
vous préférez vous !^^ si vous etes partant pour m'aider lol
voici les poemes que j'ai retenu:
MON ETOILE
Malgré toutes les larmes versées
Et mes rêves amassés,
Apres cette magie installée
Doucement, tu t’es retiré.
Etoile filante passante dans ma vie,
Présence permanente dans mon cœur,
Je sais, je sens que ce n’est pas fini,
Je l’ai compris, maintenant s’est estompée ma peur.
Au fond de moi une bougie reste allumée
L’amour infini y repose
C’est ta flamme aussi belle qu’une rose
Qui reste là pour à jamais y briller
Tu es mon ange de lumière
Mon étoile, ma fée
Merci pour ce cadeau qui restera gravé
A toi, le petit prince
SAVOIR
Savoir tolérer son errance
Dans son incontrôlable existence,
Accepter sans superviser ;
Savoir se plier à sa volonté.
Savoir ne pas juger
Cette décision insoutenable,
Juste se promettre de rester à ses côtés ;
Savoir écouter ses souffrances inévitables
Savoir lui apporter ses dernières étoiles
Pour que s’illumine encore ce visage pâle,
Lui dire *Je t’aime* avant qu’il ne soit trop tard ;
Savoir consentir à son départ...
LUI...
Il est doux comme un tendre baiser,
Adorable et délicieux...
C’est un peu comme un secret radieux
Dans lequel on voudrait se cacher.
Eternellement passionné,
Il rayonne d’amour.
J’aimerais m’y réfugier,
M’y serrer pour toujours...
Une touche de mystère,
Un peu fragile.
Délicat et attentif;
Simplement lui...
FABULATIONS
Parfois je me dis avoir fabulé,
Mais les faits sont pourtant là.
Je ressens encore ce baiser effleuré;
Etait-il vrai ou ai-je rêvé cela?
Peu importe.
C’était un doux rêve,
L’ouverture d’une porte
Qui m’a emportée sans trêve.
Laisse-moi seulement te dire
Ce que mon coeur bat:
Même si j’ai songé,
C’est pour toi qu’il est là...
FABULATION, SUITE
Haha, ce n’était pas fabulation!
Hier soir je l’ai compris.
Ça échappe à ma raison,
Mais c’est avec cœur que je souri.
Je préfère ne pas me poser de question:
C’était si naturel
Que pour ne pas perdre cette étincelle
Il faut vivre le moment présent, dune certaine façon..
Continuer ces merveilleuses journées dans tes bras;
A l’odeur de ton essence corporelle,
Qui m’enivre et m’emmène loin de là
La liberté, le sommet de la marelle..
JE M'ENVOLE
Des yeux moqueurs,
Un petit nez farceur
Et un sourire à en rêver..
Dans ses yeux, je m’y plonge
A n’en pouvoir revenir.
Son sourire dans mes songes,
Gravé sans trêves dans mes souvenirs
Sur ses ailes il m’enlève;
Et je vogue, vogue
Au delà des raisons et des rêves:
Il m’envole, une vraie drogue.
MON COEUR BOUT DE PASSION
Un instant de profil,
Son nez légèrement retroussé.
Ce sont mes yeux qui pétillent
Devant si rare beauté..
De tout son corps contre le mien,
Sa chaleur se diffère, je le serre;
De toutes mes forces je le ressens,
Mon coeur bout de passion à présent..
UN GARCON
Un garçon évadé, en dehors de la réalité.
Il me sourit...Sans prétexte par habitude.
Un lassé du plaisir absurde d’éternité
Comme bercé à la douceur de l’éphémère prélude.
Les quais de Seine, douce lumière des réverbères;
Ma main dans la sienne, délicats bruits de nos pas.
Ce soir il m’enivre d’avantage encore..
Qu’une pensée: contre moi le serrer fort.
UNE DERNIERE FOIS
Une dernière fois ton souffles sur ma joue,
Et la chaleur de tes lèvres délicieuses.
Encore ces baisers fougueux à la dérober,
Pour que vive de nouveau ton sourire passionné.
Comme l’ultime ardeur de notre pudeur,
Viens, seulement la courbure de tes anches;
Voluptueusement sans crainte,
Fussent tes mains un dernière fois sur mon corps.
MON DERNIER SOUFFLE DANS SON REGARD...
Se promettre de survivre à son absence.
Si je dois succomber, ce sera dans ses bras
Pour partir son image toujours là;
Enfouie dans la chaleur de sa présence.
Je ne suis qu’un esprit exalté par la douceur de son corps,
Contre lui je m’égare;
Comme électrisée dans son odeur, encore.
Mon dernier souffle dans son regard. . .
FIEVRE FOLIE
Un mot lâché, sans mâcher !
C’est alors que ça m’agrippe à la gorge;
Mes illusions deviennent désillusions
Et dans mon âme la haine se forge..
Je te prends tout entier;
La haine, l’amour..
Oh mélange si sucré,
Je ne cesse d’y goûter !
Et la passion gravite de plus en plus vite
Ce tourbillon détestable de folie
Le désir fiévreux me sort des orbites
Ca tourne, ça tourne et toi tu ris !
UNE NUIT DELICIEUSE
Le sommeil nous a mis en transe
O quelle douceur, quelle chaleur
Et cette odeur de thé vert à plus rien je ne pense
Que la sueur silencieuse de nos cœurs
Brume sereine et incertaine,
Mais quelle délicieuse quiétude.
Je m’impregne avec fouge de ton haleine
Plus une ombre d’inquiétude.
Ces baisers légèrement divagues
L’épuisement me laisse en exquise désinvolture
La frénésie éclate telle une vague
Et je me laisse à la somnolence, l’innocence pur.
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